- Breack test des F, E, ABD, ADD, RM et RL
- Muscles fléchisseurs : psoas et droit femoral
- Muscles extenseurs : grand fessier et ischio-jambier
- Muscles abducteurs : moyen fessier, TFL
- Muscles adducteurs
- Muscles rotateurs
Articles by kineaphp.fr
Hanche – Etirements
Etirement des ischio-jambiers
Etirement du moyen fessier (+TFL)
Etirement du triceps sural
Examen vestibulaire
- Recherche de Nystagmus
- Signe de Romberg
- Marche en étoile
- Test de Fukuda
Pr. Benjamin LALLEMANT Service d’ORL & CMF – Chirurgie cervico-faciale Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes, France
Levée de tension
Le modèle PDDM
Tendinopathie du coude (golf elbow)
Rachis
La contraction musculaire
Les différentes courses musculaires
Il est important de reconnaître les courses musculaires, car le muscle développe des réactions différentes aux stimuli qui lui sont appliqués selon qu’il est en position courte, longue ou moyenne de ses insertions.

On détermine l’amplitude(A°) disponible pour la contraction musculaire du biceps entre la position maximum d’étirement(extension du coude) et la position la plus courte du muscle(flexion du coude)

Puis on divise en 3 parties égales l’amplitude disponible
Les 3 types de courses
- La course interne représente le 1/3 d’amplitude pendant lequel les insertions musculaires sont le plus rapprochées.
- La course externe représente le 1/3 d’amplitude pendant lequel les insertions sont les plus éloignées.
- La course moyenne représente le tiers d’amplitude pendant lequel les insertions musculaires ne sont ni relâchées, ni étirées, c’est dans cette situation que le muscle développe sa force maximum.
Exemple de courses musculaires



Le paradoxe de Lombard
Les régimes de contraction

Concentrique : travail moteur et raccourcissement du muscle agoniste

Excentrique : travail freinateur et allongement du muscle agoniste

Isométrique : travail résistant, les fibres du muscles agonistes exercent une tension sans changement de longueur
Physiologie de la contraction
Notions d’insuffisance fonctionnelle
L’insuffisance fonctionnelle active
L’insuffisance fonctionnelle passive
Kiné active et maladies
Le diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique (excès de concentration de glucose dans le sang).
Le diabète de type 2 résulte de l’insulinorésistance, c’est-à-dire un défaut d’action de l’insuline.
L’insuline favorise la captation du glucose par les cellules ou le stockage du glucose. Son effet est donc hypoglycémiant.
Les complications graves à long termes : AVC, neurodégénérescence, artérites des membres inférieurs.
Pour en savoir plus, voir le site de l’INSERM
Higyène de vie : traitement prioritaire
– une perte de poids quand elle est nécessaire
– une activité physique régulière
– une alimentation équilibrée
Effet de l’entrainement sur le DT2
– En endurance : augmentation de la captation du glucose par le muscle squelettique1 (augmentation de la sensibilité du récepteur à l’insuline au niveau musculaire et augmentation du nombre de transporteur GLUT4 qui favorise la captation du glucose)
– En intensité supérieur à 70%
Durant les entrainement à haute intensité, le substrat essentiel du muscle est le glucose : les effets sont donc plus efficaces pour le DT2. En effet, en dessous de 70% d’intensité, les substrats principaux sont les acides gras.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques.
Il peut atteindre les nerfs qui commandent les mouvements musculaires, ainsi que ceux qui transmettent les sensations douloureuses, thermiques et tactiles. Il peut ainsi entraîner une faiblesse musculaire, la perte de sensation dans les jambes et/ou les bras, et des difficultés à déglutir ou respirer.
La faiblesse musculaire part des jambes et s’étend au haut du corps. Il en résulte donc une instabilité ou une incapacité à la marche.
Les cas graves sont rares, mais peuvent entraîner une paralysie quasi complète et des problèmes respiratoires.
Les symptômes durent généralement quelques semaines et la majorité des patients se rétablissent sans présenter de complications neurologiques graves à long terme.
En raison de la nature auto-immune de la maladie, sa phase aiguë est généralement traitée par immunothérapie. Si des faiblesses musculaires persistent après la phase aiguë de la maladie, des services de rééducation peuvent être nécessaires pour aider les patients à retrouver leur force musculaire et leur capacité de mouvement.
Objectif de la Kiné dans le SGB
– Renforcement bras et jambe
– Réapprendre les gestes de la vie quotidienne
– Prévenir les complications des paralysie (raideur articulaire, rétraction des muscles et tendons)
Entraînement adapté à la fatigabilité du patient
– Respecter la fatigabilité du patient
– Adapter les exercices à la progression du patent
– Ne pas le mettre en situation d’échec
– Être vigilant à ses éventuels douleurs